“Elle mord la main qui la nourrit”, “ingratitude”, “enfant gâtée” : voilà ce qu’on peut lire sur les réseaux sociaux chez des militants, voire des élus, en réaction au discours très engagé de la Palme d’Or. Mais son film, et le cinéma français en général, se font-ils “aux frais du contribuable” ?
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