Paradoxe : une partie des acteur·ices du monde de l’art est à la fois pour et contre les droits culturels. C’est qu’il y a, ici, les valeurs humanistes des droits culturels et, là, leur traduction dans les dossiers de subvention, où prime le bon sens technocratique. Il faut repenser le rapport entre la promesse politique et la pratique des droits culturels.
Source / Lire la suie : L’étouffement technocratique des droits culturels