Tournant ou signe avant-coureur de la fin, le premier recul de Netflix marque d’une pierre noire l’âge de la « peak TV ».
Annoncées le 19 avril, les déconvenues de Netflix, qui a vu son portefeuille d’abonnés s’amaigrir pour la première fois depuis 2011 (− 200 000, à peine 0,1 % des 222 millions d’abonnés recensés au trimestre précédent), ont fait perdre à la firme « tudum » –onomatopée inspirée de la virgule musicale qui précède chaque contenu de la plate-forme – 50 milliards de dollars (46 milliards d’euros) de capitalisation boursière.
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